Alma et Typhanie
LEs âmes de Samourailles
Typhanie

Je ne sais pas faire autrement. Ça traverse, ça s’impose.
Je perçois les liens, les tensions, les fils invisibles qui tiennent un être debout ou l’empêchent d’avancer.
Je regarde, je ressens, je traduis ce que l’autre ne sait pas encore dire.
Parfois par un mot, un dessin, un silence.
Je vois les structures – visibles et invisibles – et je les relie avec la précision de celles qui sentent avant de comprendre.
Quand je dessine, chaque trait pose une fréquence.
Ce n’est pas un art décoratif, c’est un portail qui s’incarne et qui œuvre.
Chaque création devient un espace où l’art devient soin, et où la beauté réactive ce qui sommeille.
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Alma
Quand je regarde quelqu’un, je vois au fond. Je vois l’âme qui attend d’être appelée. Je suis ici pour réveiller, bousculer, rappeler.
Mon langage : l’art, les rituels, les mots bruts, le sacré.
Je marche avec les esprits, avec les mémoires anciennes et futures.
J’accompagne celles et ceux qui choisissent de traverser, de transmuter, d’oser. Par ma parole, ma présence, je ravive les braises et j’allume ce qui attend de brûler. Je suis là pour rappeler à l’âme qui elle est, et réveiller la souveraineté intérieure.

Nous sommes Alma et Typhanie. Deux âmes atypiques, indomptables. Et amoureuses.
C’est peut-être ça, notre premier portail : l’amour qui nous lie et qui fonde tout ce que nous créons. Nous sommes là pour remuer, réveiller, révéler.
Pas pour expliquer ou réconforter, mais pour secouer, faire émerger ce qui dort, ce qui attend d’être transmuté. Nous percevons ce que beaucoup ne veulent pas voir : les dynamiques invisibles, les nœuds subtils, les mémoires anciennes et notre présence secoue. Nous provoquons les métamorphoses chez celles et ceux qui osent sortir du connu. Et si quelque chose en toi résonne en nous lisant, alors c’est que le passage est déjà ouvert.
Nous sommes Samourailles. Et nous n’avons pas peur de la puissance, ni de l’inconfort que réclame la liberté véritable.